Les relations intimes entre gays ont toujours suscité la curiosité. Beaucoup de personnes, incluant des homosexuels, se posent des questions concernant ce sujet, mais n’osent pas les demander à un gay de peur d’offenser la personne. Aujourd’hui, Clyde Engle, un auteur sur des articles concernant la vie des homosexuels nous éclaircit sur 5 de ces questions.
Ci-dessous, retrouvez les 5 questions les plsu fréquentes que l’on aimerait poser à un couple gay ou un homme gay, concernant le sexe et les relations sexuelles, mais que l’on préfère finalement ne jamais poser.
On ne va pas se mentir, oui c’est douloureux. Du moins au début. Comme toute pratique, cela exige du temps d’accoutumance. Au début, la pénétration peut même blesser un peu, mais la douleur ne dure pas longtemps. C’est après que la sensation devient de plus en plus agréable.
Cela dépend de chacun, mais la levrette semble être la meilleure position. Le missionnaire classique est également confortable et en plus on peut se regarder dans les yeux. Ce qui donne une touche très excitante. Le mieux est d’expérimenter afin de découvrir ce qui vous convient le plus.
Il est en effet normal de se sentir propres avant l’acte sexuel et cela permet d’écarter certains risques. Mais dans la vie courante, ce n’est pas obligatoire.
Au début beaucoup ! Vraiment beaucoup ! Peut-être même une bouteille entière ! Après l’accoutumance, la quantité nécessaire diminue peu à peu.
Bien sûr que oui ! Ils sont même très importants. On parle évidemment de câlins, caresses, baisers passionnés… Il faut toujours stimuler les zones érogènes, de préférence avec la langue. Après, une fellation est également recommandée pour faire des rapports sexuels complets.
Il existe un certain nombre de raisons pour lesquelles les questions relatives au sexe peuvent être taboues chez les homosexuels. Dans certains cas, il s’agit d’un sujet personnel qui ne se prête pas à une discussion publique.
En outre, certains homosexuels peuvent avoir le sentiment qu’ils doivent garder leur activité sexuelle privée afin d’éviter la discrimination ou le jugement. Enfin, il peut y avoir un sentiment de honte ou d’embarras associé au fait de discuter ouvertement de sa vie sexuelle.
Quelle que soit la raison, il est important de se rappeler que chacun est plus ou moins à l’aise lorsqu’il s’agit de discuter de questions sexuelles. Si vous n’êtes pas sûr de la façon dont votre question sera reçue, il est toujours préférable d’opter pour la prudence et de ne pas poser de question.
Pour beaucoup de gens, la sexualité est quelque chose de fluide et de changeant. Pour d’autres, c’est quelque chose de fixe et d’immuable. Et pour d’autres encore, elle se situe quelque part entre les deux. Ce concept peut être difficile à comprendre, en particulier pour ceux qui n’ont jamais connu d’attirance pour le même sexe. Après tout, si la sexualité est fluide, cela signifie-t-il que tout le monde peut potentiellement être attiré par une personne du même sexe ? Et si elle est fixe, cela signifie-t-il que les gens naissent homosexuels ou hétérosexuels ?
La vérité est qu’il n’existe pas de réponse unique à ces questions. La sexualité est une chose complexe et à multiples facettes, et ses subtilités sont encore largement incomprises par le grand public. Ce que nous savons, c’est que la sexualité existe sur un spectre et que l’expérience de chaque personne est unique. Qu’une personne s’identifie comme hétérosexuelle, homosexuelle, bisexuelle ou autre, il est important de respecter son expérience individuelle et de ne pas faire de suppositions sur son orientation sexuelle.